Oubliés le piratage généralisé, les chansons postées gratuitement sur internet et les chaînes de clips démodés : les géants du streaming tentent de rafraîchir une industrie musicale arabe qui n’est plus à la page, en retard face à l’ère du numérique payant.

Fortes de leur succès sur les continents européen et américain, les plateformes de diffusion musicale « en streaming » s’intéressent à des marchés émergents, dont le Moyen-Orient et à l’Afrique du Nord, où la jeunesse est ultraconnectée.
Pour séduire auditeurs et professionnels au Moyen-Orient, Spotify fait valoir un atout majeur par rapport à la concurrence : il offre une « plateforme mondiale » aux artistes arabes.
« Aujourd’hui, la musique et les artistes arabes sont présentés au monde entier et découverts grâce à Spotify », relève M. Boller, citant l’exemple de l’acteur et rappeur égyptien tapageur Mohammad Ramadan, mis à l’honneur sur un panneau publicitaire de Times Square, à New York.
Suite de l’article en français de L’Orient Le Jour :(avec AFP) : http://bit.ly/3aeWrSg
En complément revenus payés en € par les plateformes au Moyen-Orient (source Printz Blog) – revenus payés entre juillet et octobre 2020

(Une présentation globale des chiffres des différentes plateformes dans le monde avec un explicatif plus détaillé sera posté sous peu sur ce blog).
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