Des producteurs, des distributeurs, des tourneurs, des directeurs de festivals et des musiciens viendront de plusieurs pays d’Afrique et d’ailleurs afin de mener la réflexion sur les questions liées à l’économie de la musique en Afrique.

Ce serait une lapalissade que de dire que la musique draine une véritable industrie. Derrière cette industrie musicale, il y a toute une chaîne, des modèles économiques qui font vivre l’art et la musique. Les Rencontres Musicales Africaines selon son directeur Alif Naaba se veulent ainsi être un incubateur où les organisateurs des grands événements musicaux au niveau africain viendront réfléchir pendant 3 jours pour trouver des modèles économiques nouveaux, des modèles de diffusion et tout ce qui est modèle innovant afin de pouvoir repartir les appliquer dans leur pays. En somme, pour Alif Naaba et les siens, les REMA sont vues comme une table ronde où des discussions sont menées afin d’apporter d’éventuelles solutions aux problèmes auxquels est confrontée l’industrie de la musique en Afrique.
Suite de l’article complet en français par Hamadou Ouedraogo pour Minute.bf (Burkina Faso) : https://bit.ly/3o9DIyH
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