Cent jours après avoir pris la direction générale de l’Association des producteurs de disques et de spectacles du Québec (ADISQ), Ève Paré prend la pleine mesure des défis que le milieu de la musique devra affronter. D’autant que ses interlocuteurs à l’Union des artistes (UDA) et à la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ) abordent prudemment ce prochain cycle de négociations, échaudés par de récents épisodes de ruptures.

Au cœur des litiges : le renouvellement de la Loi sur le statut de l’artiste promis par le gouvernement Legault et la négociation de nouvelles ententes collectives liant l’ADISQ à l’UDA et à la GMMQ. Des ententes échues depuis plus de vingt ans qui, de l’aveu de la directrice générale, nécessitent d’être « modernisées ».
Article complet par Phlippe Renaud dans le Devoir : https://bit.ly/3z1q4Rp
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