Aujourd’hui, ONErpm a largement dépassé ses débuts en matière de distribution DIY. L’entreprise gère toujours un volet DIY, mais – un peu à la manière du modèle de Believe – elle investit aussi plus lourdement dans un groupe plus restreint d’artistes, comme le ferait un label.

Certains artistes (ceux qui font partie de ce que ONErpm appelle son niveau « Taking Off ») reçoivent des avances et bénéficient d’un soutien interne en matière de marketing/relations publiques/playlisting pour accélérer leur carrière ; d’autres (« Next Level ») peuvent même partager la propriété des droits d’auteur avec ONErpm et recevoir un niveau d’investissement plus important.

Aujourd’hui, avec une équipe mondiale de plus de 450 personnes – et une équipe A&R dédiée de plus de 60 personnes – la société affirme qu’elle recherche agressivement de nouvelles affaires dans tous les coins du marché de la musique.

En outre, au cours des dernières années, ONErpm a discrètement acquis des catalogues de droits d’auteur auprès d’artistes et de labels, Zunz estimant que les droits d’auteur « détenus » ou « partiellement détenus » représentent désormais un pourcentage significatif à un chiffre du répertoire de ONErpm.

Article complet en anglais par Tim Ingham pour MBW : https://bit.ly/3ScFBXY