Malgré leur rôle de plus en plus important dans la suggestion de telles chansons et la sélection de la musique pour les émissions, les superviseurs musicaux disent qu’ils n’obtiennent pas le salaire et les avantages partagés par leurs pairs syndiqués.

« Nous sommes actuellement un groupe de travailleurs indépendants qui doivent obtenir leur propre assurance et déterminer leur propre retraite », a déclaré Lindsay Wolfington, une superviseure musical indépendante. « Presque tout le monde sur les plateaux de tournage à Hollywood est payé par un syndicat, est soutenu par un syndicat et a ses taux et ses calendriers de paiement normalisés par un syndicat. Donc nous cherchons simplement à être à égalité avec nos collègues avec qui nous travaillons. »

Pour remédier à cette situation, M. Wolfington et d’autres superviseurs indépendants ont récemment franchi une étape importante en adhérant à l’International Alliance of Theatrical Stage Employees, le syndicat qui représente les équipes des productions cinématographiques et télévisuelles. Ils ont demandé une élection d’accréditation syndicale auprès du National Labor Relations Board.

Article complet en anglais par WENDY LEE pour The Los Angeles Times : https://lat.ms/3tbSUMU