«Il y a beaucoup de chansons québécoises que je voulais utiliser, d’Isabelle Boulay, de Bruno Pelletier, qui sont en fait des chansons dont les droits ont été cédés parce qu’à cette époque-là, je pense que les artistes étaient au début de leur carrière et ils voulaient céder leurs droits à leur “label”. Ces [maisons de disque là] ont fait faillite ou ont cédé leur catalogue à de plus gros joueurs», a-t-il expliqué à QUB radio.

«Il y a une dizaine de chansons québécoises auxquelles j’ai dû renoncer, soit parce que je n’avais pas de réponse de ce même label-là, soit parce que ça coûtait tout simplement trop cher à cause de la façon dont on calcule les tarifs, qui vont faire en sorte qu’une chanson de Ginette Reno va me coûter le même prix qu’une chanson de Coldplay», a-t-il regretté.
Le producteur québécois a par ailleurs réagi à la question de la journaliste concernant la désaffection des jeunes pour la culture québécoise.
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