Avec MEAD, les entreprises sont en mesure de communiquer des informations en plus des données de base pour aider les DSP à commercialiser leurs produits auprès des consommateurs. Cette communication, pour le moment, se fait généralement entre les maisons de disques et les DSP en association avec le flux de messages ERN ( Electronic Release Notification ) de la maison de disques qui fournit des informations essentielles sur le produit aux DSP.

Les messages MEAD peuvent communiquer près de 40 points de données différents sur les enregistrements sonores individuels, ainsi qu’un nombre similaire de points de données pour les œuvres musicales, y compris la sortie sur laquelle l’enregistrement sonore apparaît. Voici des exemples d’informations qu’ils peuvent communiquer :

● Genres, ambiances et thèmes catégorisés
● Registre vocal, instrumentation
● Signatures temporelles, tempo et BPM
● Structure harmonique, accords fondamentaux, hauteur absolue
● Récompenses et données historiques

Le standard Party Identification and Enrichment (PIE), standard frère du MEAD, permet la communication de près de 20 points de données pour les contributeurs d’œuvres musicales et d’enregistrements sonores.

Alors, comment ces données supplémentaires jouent-elles pour augmenter les flux ?

Lors d’une récente présentation à la conférence Music Biz à Nashville, des représentants d’Amazon Music et d’Universal Music Group (UMG), le leader mondial du divertissement musical, ont partagé des détails sur la mise en œuvre de la norme MEAD. Les présentations ont noté que les deux sociétés avaient effectué des tests « avant » et « après », qui ont montré que l’ajout de données de genre et d’humeur de haute qualité aux DSP augmentait les flux et diminuait les taux de saut dans les 90 jours suivant le balisage d’une piste. avec les informations complémentaires. Les résultats des tests ont montré:

Infos en anglais sur DDEX.NET : https://bit.ly/3Y4bSU5 retransmise suite à un post de JR BISAILLON sur Linkedin.