Universal Music Group déploie vraiment ses muscles d’entreprise pour réprimer la musique générée par l’IA – ou du moins, la musique générée par l’IA qui, selon lui, a été formée sur de la musique commerciale sans licence.

Le Financial Times a rendu compte des e-mails envoyés par UMG aux services de streaming musical leur demandant (selon les termes du FT) de « couper l’accès à leur catalogue de musique aux développeurs qui l’utilisent pour former la technologie de l’IA ». L’article affirme qu’UMG a également envoyé des demandes de retrait aux DSP. Les services de streaming maintiennent jusqu’à présent publiquement un silence diplomatique.

L’actualité de cette semaine met en lumière les services de streaming et la question de savoir s’ils facilitent involontairement (ou, maintenant qu’ils ont été avertis, sciemment) la récupération sans licence de musique commerciale à des fins de formation.

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