L’un des avantages les plus vantés de web3 est le fait que les redevances des créateurs peuvent être intégrées dans les contrats intelligents lors de la vente d’un NFT, ce qui garantit que l’artiste/créateur est payé même après la vente initiale. Cependant, comme le rapporte Molly White, critique de web3, cela n’est pas souvent appliqué, laissant plutôt la responsabilité des redevances à la place de marché qui a initialement vendu le NFT.

C’est un point très controversé dans le monde des NFT : non seulement cela porte atteinte à la nature décentralisée de web3, mais cela signifie également, selon White, que « des places de marché de NFT ont émergé et suivent un modèle de « redevance optionnelle », déclenchant une course vers le bas où OpenSea et d’autres opérateurs historiques ont également réduit les protections de redevance pour rester compétitifs ».

Réfléchissez à ces deux choses : les NFT musicaux finiront-ils par être plus scrupuleux, en appliquant contractuellement les paiements de redevances, ou seront-ils laissés à une tierce partie centralisée ? Et que penseriez-vous si vous payiez pour un NFT musical et que l’organisation qui l’a lancé en modifiait ensuite le contenu à sa guise ?

Article complet en anglais par Joe Sparrow pour Music:)ally : https://bit.ly/41txElb