Les festivals de musique sont de retour en force. Dans de nombreuses régions d’Amérique du Nord et d’Europe, les fêtards peuvent désormais se rassembler par milliers pour voir leurs musiciens préférés monter sur scène, après une longue interruption des grands événements due à la pandémie. Mais ce grand retour n’est pas sans prix. Dans de nombreux cas, le « boom » auquel je fais référence est une explosion des infections par le COVID-19, en particulier la variante Delta, qui provoque davantage d’infections et se propage plus rapidement que les premières formes du SRAS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19.

Les assureurs d’événements en direct du monde entier veulent soutenir leurs clients ; ils veulent les sortir du marasme de la pandémie et permettre une reprise rapide, mais sûre. Au cours des 18 derniers mois, de nombreux assureurs ont offert à leurs clients des réductions de primes et des solutions de couverture uniques pour les aider à rester à flot pendant les fermetures dues à la pandémie. Ils ont également fourni un service louable en matière de gestion des risques, en aidant les assurés à rester au fait des réglementations en matière de santé et de sécurité et en les préparant à un retour en douceur à l’activité.

Et pourtant, la question doit être posée : Sommes-nous en train de brûler les étapes ? Le meilleur conseil ne serait-il pas en fait de reporter tous les grands événements pour le moment, jusqu’à ce que l’on comprenne mieux la variante Delta et ses impacts ? Toutes sortes de problèmes pourraient découler de ces rassemblements de masse ; il pourrait y avoir des risques de responsabilité imprévus, des blessures corporelles et, littéralement, d’autres décès.

Article complet en anglais par Bethan Moorcraft pour Insurancebusinessmag (UK) : https://bit.ly/38REBTo