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Belgique – Flandre – Lettre ouverte : n’abandonnez pas non plus le secteur de la musique dans cette quatrième vague

Comme prévu, le Comité consultatif a annoncé vendredi de nouvelles mesures strictes dans la lutte contre la quatrième vague. Surtout pour la vie nocturne, une nouvelle fermeture, à peine 6 semaines après la réouverture tant attendue, est particulièrement dure. En tout cas, il a été très difficile de travailler dans l’ensemble du secteur ces dernières semaines, avec des ventes de billets en chute libre et des pourcentages élevés de non-présentation aux concerts et événements. Maintenant que les concerts ne peuvent avoir lieu qu’assis, les organisateurs craignent un nouvel effondrement des ventes de billets et des annulations et des reprogrammations de concerts et d’événements. 

Clubs, discothèques, cafés dansants, maisons de la culture, salles de concert, maisons de jeunes… sont à nouveau confrontés à d’énormes pertes de chiffre d’affaires. Leurs partenaires les plus importants, les artistes et leur entourage, connaissent également des difficultés financières en raison d’annulations de missions et de délocalisations supplémentaires. De plus, l’impact mental de la crise actuelle dans notre secteur ne peut être sous-estimé.

Le premier et le plus important appel de cette lettre ouverte s’adresse aux gouvernements flamand, bruxellois et fédéral. Réactivez un large éventail de mesures de soutien pour aider le secteur de la musique live et la vie nocturne à traverser cette période difficile. Étendre le dispositif concernant le chômage temporaire dû au corona, redonner des droits passerelles aux entrepreneurs indépendants qui subissent une perte de chiffre d’affaires, et également réintroduire d’autres mesures liées au chiffre d’affaires, comme la prime d’empêchement ou le mécanisme de protection. Le secteur demande également de réintroduire le système de bons pour les concerts et événements reprogrammés. Enfin, veillez à une coordination suffisante des mesures d’accompagnement, afin que, par exemple, les organisations flamandes présentes sur le territoire bruxellois ne soient pas laissées pour compte.

La lettre ouverte complète est en néerlandais et accessible en suivant ce lien : https://bit.ly/3I6x97B

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