C’est du moins le point de vue de Dan Mackta de Qobuz. :  » Dans le cadre de mon travail visant à développer l’audience de Qobuz, j’ai découvert que, pour les amateurs de musique en dehors des genres pop dominants, il existe encore de nombreuses idées fausses sur le fonctionnement du streaming musical. Pouvez-vous le croire ? Il y a des fans de musique qui ne font pas de streaming ! Qobuz a une ligne éditoriale qui accorde beaucoup d’attention à la musique classique, au jazz et à d’autres genres musicaux non traditionnels. Grâce à cette orientation, nous trouvons beaucoup de nouveaux clients dans une cohorte de consommateurs plus âgés (la génération X et les baby-boomers) qui sont peut-être un peu plus sérieux dans leur expérience d’écoute de la musique. Bien qu’ils consacrent beaucoup d’argent et de temps à leur hobby musical, ces fans ne participent souvent pas à l’économie du streaming et passent à côté des opportunités incroyables qu’offre le streaming musical moderne.« 

Pourquoi se donnerait-on la peine de chercher et d’acquérir des copies physiques de la musique qu’on veut écouter alors qu’elle est disponible d’un simple clic ?

1. La première raison, bien sûr, est que les audiophiles et les auditeurs passionnés de musique soutiennent depuis longtemps que la qualité audio d’un CD ou d’un disque vinyle est supérieure à celle que l’on peut obtenir sur les services de diffusion en continu de musique
2. Un autre domaine dans lequel le streaming grand public a déçu les aficionados chevronnés de la musique est la satisfaction de l’envie d’en savoir plus sur les artistes et les enregistrements pendant l’écoute (notes de pochette).
3. La troisième objection au streaming musical que j’entends de la part de notre public expérimenté et bien éduqué musicalement est qu’il est impossible qu’un ordinateur sache mieux qu’eux ce qu’ils veulent écouter.

Et Dan Mackta de présenter les solutions offertes par Qobuz.

L’article complet en anglais est à trouver sur le site de Byta.com : https://bit.ly/3MrwXmq