Malgré aléas climatiques sévères, pénurie de personnel et de matériel, explosion des budgets et démultiplication des événements, les grands rassemblements ont tiré leur épingle du jeu. Pour les autres, l’été fut plus compliqué.

Dans l’article complet de TELERAMA, Jean-Baptiste Roch : https://bit.ly/3RZy9hZ aborde les éléments suivants :
- Les gros festivals attirent le public en masse, les autres moins
- Une volonté de faire (trop) grand, après deux ans d’arrêt
- Offre pléthorique et serrage de ceinture
- Inflation des coûts et des cachets, et pénurie logistique
- Les alternatives : le mécénat et la restructuration du secteur
- Le dérèglement climatique à appréhender
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