Point de vue , en anglais, par Dan Runcie pour Trapital.co dont il est le fondateur : https://bit.ly/3qZAKgt dont voici quelques éléments.

La rentabilité serait la meilleure mesure du succès pour l’industrie de la musique. Si tous les secteurs d’activité sont inclus (musique, live, merchandising, ventes de produits, NFT, multimédia, etc.), alors quel est le chiffre d’affaires global moins les coûts ?

Mais les entreprises ne partagent pas ces données à moins qu’elles n’y soient obligées. Aucune maison de disques ne veut admettre qu’un album très apprécié était en fait un revers. Aucun promoteur d’événements ou artiste ne veut admettre qu’il ne vend pas assez de billets. Ce n’est pas l’industrie cinématographique, où les films sont tenus de divulguer des budgets pour les permis de tournage ou les avantages fiscaux. Au lieu de cela, l’industrie de la musique s’appuie souvent sur les ventes d’albums, ce qui est limitatif. Cette ligne de pensée peut également aider les artistes, en particulier les artistes hip-hop, à voir plus loin que les ventes d’albums de la première semaine. Bien sûr, Chance The Rapper a été moqué après la performance commerciale et critique médiocre de The Big Day de 2019. Mais il possède ses maîtres et ses éditions, il a donc rapporté plus d’argent que beaucoup d’autres artistes qui se vantent d’être n°1.

Mais si les fondateurs de la technologie musicale veulent aider les artistes à capter davantage leur influence, ils devraient aider les artistes à trouver des moyens de monétiser la façon dont les talents d’autres industries le font. Cela peut inclure des ventes de produits dans la vraie vie (ou dans un jeu vidéo ou le métaverse). Cela pourrait également être des artistes créant leurs propres environnements numériques et y invitant des fans .